Améliorer la dignité animale avec Naître, vivre & mourir à la ferme

Capucine et Charlotte de l’ESI Business School ont toujours eu une appétence pour la question du développement durable. L’une a fait une master en manager du développement durable et l’autre un master 2 en green, social et digital management.
En se rencontrant, elles réalisent qu’elles ont envie de lancer leur projet qui alliera développement durable et développement économique. Alors elles se penchent sur la consommation et la production de viande.
Elles se rendent compte qu’un français consomme en moyenne 60kg de viande par an (d’après WWF) mais aussi que l’élevage coûte cher à la planète. Entre les gaz à effet de serre, la déforestation, la surconsommation d’eau, et les abattoirs qui respectent peu le bien-être animal, la liste des problèmes est longue.
Que proposent Capucine et Charlotte ?
Elles se sont concentrées sur les problèmes liés aux abattoirs. Elles aimeraient alors créer une entreprise de services d’abattoirs mobiles à la ferme assurant des pratiques respectueuses de l’animal et de commercialisation de cette viande en circuits courts par leur soins. Ceci permettra d’assurer la traçabilité et la transparence sur l’ensemble de la chaîne de valeur. Elles veulent aussi proposer une meilleure rémunération aux producteurs et une viande de meilleure qualité pour le consommateur.
Quelles sont les futures actions pour 2021 ?
Afin de mettre réellement en place leur projet, Capucine et Charlotte doivent référencer les agriculteurs qui travaillent dans la région du Quercy et présenter leur projet à ces agriculteurs pour savoir si cela les intéresse vraiment.
Elles devront aussi apprendre sur les aspects techniques de ces abattoirs de type “caissons” et c’est à ce moment-là qu’elles pourront se lancer en étudiant la faisabilité technique et économique de leur projet.